À Abidjan, dans le quartier d’Angré-Château, se dresse une église méconnue, à la cloche imposante : l’Église orthodoxe grecque. Plus de 1 350 personnes se réclament de cette confession qui fêtera ses 15 ans de présence en Côte d’Ivoire au mois de mai.
L’ambiance est conviviale, ce dimanche 5 février, à l’église orthodoxe d’Angré. Depuis la célébration des matines à 9 heures, les fidèles de la communauté sont réunis. Ils suivront ensuite la divine liturgie puis prendront ensemble le café. Ce sera l’occasion pour eux d’écouter un enseignement biblique.
L’ambiance est conviviale, ce dimanche 5 février, à l’église orthodoxe d’Angré. Depuis la célébration des matines à 9 heures, les fidèles de la communauté sont réunis. Ils suivront ensuite la divine liturgie puis prendront ensemble le café. Ce sera l’occasion pour eux d’écouter un enseignement biblique.

À l’intérieur de l’église, sous l’œil vigilant des nombreuses icônes qui ornent les murs, les enfants mangent leur pain en bavardant quand ils ne courent pas ici et là.
Marie-Charlotte Dihi est une fidèle engagée dans la paroisse orthodoxe depuis six ans, baptisée depuis quatre ans : « Dans cette église, nous sommes unis, nous formons une vraie famille. Tous les dimanches nous partageons nourriture et enseignement biblique. »
Pour Béatrice Koffi aussi, la communauté orthodoxe est une seconde famille : « Ce qui fait notre force, c’est la solidarité et l’entraide. » Suite La Croix
Marie-Charlotte Dihi est une fidèle engagée dans la paroisse orthodoxe depuis six ans, baptisée depuis quatre ans : « Dans cette église, nous sommes unis, nous formons une vraie famille. Tous les dimanches nous partageons nourriture et enseignement biblique. »
Pour Béatrice Koffi aussi, la communauté orthodoxe est une seconde famille : « Ce qui fait notre force, c’est la solidarité et l’entraide. » Suite La Croix